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Micro-Folie Mayet
20201126 111446
Réhabilitation de la mairie
santé
Santé en Sud Sarthe

Patrimoine et histoire

Histoire de la ville :

Origine du nom : de magittum, terme dérivé du celte et signifiant « plaine » mais qui a aussi le sens de « pays fleuri ».

On peut imaginer qu’en neuf mille avant Jésus-Christ, après la période glacière, au lieu-dit « La Vinetterie » en limite nord de la Commune de Mayet vivaient les premiers hommes.

A cinq cents mètres de ce lieu-dit ont été retrouvés des outillages et des pointes de flèches en silex.

Quatre mille ans avant Jésus-Christ, les peuplades s’établissent réellement pour pratiquer l’élevage et la culture de céréales. Les plaines fertiles cultivées en « ris » ont donné son nom au village qui est devenu, à la période gauloise Mageto qui veut dire, petit champ ou village fertile puis MAILLE.

(La Seigneurerie de Mayet aux Marches de l’Anjou – Nicolle Pietrin. Source Archives communales, archives départementales, « recherches Historiques sur Mayet » par Fortune Legeay 1859)

En l’an 770, Charlemagne concède le village de Mayet ainsi qu’Aubigné et Mazouët, petit manoir désormais situé à Vaas, à l’abbaye Saint-Martin de Tours. Au IXème siècle, la paroisse est désignée sous le nom de Maieto.

L’ost est levé en cette année 842.

Les Bretons sont aux frontières du Maine et menacent le domaine royal en assiégeant Château du Loir. Charles le Chauve, sur le front de ses troupes qu’il ne peut recruter à plus de quarante kilomètres, défait le redoutable Nominoé en fermant le verrou sur le Loir qu’est à cette époque le château d’Aymon : castrum Lidi. Remontant vers Le Mans, il s’arrête à la ferme fortifiée de Coulaines qui protège le chemin qui mène à la voie romaine, le « ménoir »1 où il signe plusieurs chartes2.
La charte établissant la châtellenie de Château du Loir lui adjoint une seigneurie vassale qui anoblit le chef du village Daron de Maillé en reconnaissance des services rendus et lui donne une rente de soixante livres par an. (La Seigneurie de Mayet Aux Marches de l’Anjou – Nicolle Pietrin)

Au XIème siècle apparaît dans les textes l’expression apud Magittum, le nom Mayet n’apparaissant qu’au XIIIème siècle. En 1126, le Maine est rattaché à l’Anjou et, en 1199, Guillaume des Roches, sénéchal d’Anjou et du Maine, reçoit le titre de seigneur de Mayet des mains du duc de Bretagne, Arthur. En 1320, Robert, comte de Dreux et baron de Château-du-Loir, cède à Philippe Lorin les « Salles de Mayet ».

Au XIVème siècle, l’évêque du Mans revendique, en opposition avec Saint-Martin de Tours, le patronage de la paroisse ; les dîmes perçues sont partagées à moitié à partir de 1425.

En 1790, Mayet devient chef-lieu d’un canton composé de 5 communes : Mayet, Coulongé, Lavernat, Sarcé et Verneil-le-Chétif. Les communes de Vaas et Aubigné lui sont rattachées en 1803.

Au XIXème siècle, un grand plan d’urbanisme est mis en place pour restaurer la place de l’Hôtel-de-Ville : l’église Saint-Martin du XIIème siècle est remplacé par un édifice plus monumental de style gothique, une nouvelle mairie est inaugurée ainsi que de nouvelles constructions.

L’arrivée du chemin de fer en 1830 permet d’ouvrir la voie aux activités industrielles, comme l’horlogerie ou la fabrique de vitraux avec l’entreprise Fialeix.

Depuis 1959, Mayet est équipé d’un relais émetteur télévision Le Mans-Mayet, modernisé en 1993 : il atteint aujourd’hui 341 mètres de haut et domine la forêt de Bercé ainsi que toute la région. Il est aujourd’hui un symbole de communication.

(Extrait « Le Patrimoine des Communes de la Sarthe » Flohic Editions)

Un peu d'histoire :

Autrefois région essentiellement agricole, proche de la forêt de Bercé célèbre pour ses chênes, l’arrivée du train Le Mans-Tours au XIXe siècle, oriente la cité vers la petite industrie, scierie Cavé, fabrique de corde Franchet, aujourd’hui la Sofac fabrique les cartonnages et les calendriers.

Haut lieu d’implantation de la télévision au milieu du XXe siècle, à la fin du XXe siècle la protection du « pique-prune » fait reculer l’arrivée de l’autoroute d’une dizaine d’année, enfin le XXIe siècle s’ouvre avec la remise en état du petit patrimoine (lavoirs, lucarne, anciennes demeures…) et la percée de l’autoroute en lisière de la forêt domaniale, le remembrement permet une utilisation plus performante des surfaces agricoles, une meilleure utilisation de l’eau.

La nappe phréatique affleure sur le canton en différents points ; elle alimentait les thermes romains près du Loir à Cherré, commune d’Aubigné).

Histoire de la ville :

Patrimoine et histoire de Mayet

Sa place...

… dont l’aménagement date du 19ème siècle.

L'hôtel de ville

Des projets de construction sont envisagés dès 1789, mais aucun d’entre eux n’aboutit, la préfecture les jugeant trop simples ou trop somptueux.

En effet, pas moins de 8 projets officiels furent recensés entre 1789 et 1887. Ils allèrent d’abord du plus révolutionnaire en 1789 au plus humble en 1810 qui se contentait de l’adosser à l’ancienne église. Ce n’est qu’en 1887, suivant un devis initial de 47 300F, que la décision fut prise et que la première pierre fut posée par Eugène Termeau le 12 juin 1887. Le sous-Préfet de La Flèche l’inaugura ensuite le 8 juillet 1888.

L'église Saint-Martin/Notre Dame de l'Immaculée Conception

Au 12ème siècle, l’église avait été construite à l’emplacement de la fontaine actuelle.

En 1862, on décide de construire une nouvelle église sous la présidence du président de la fabrique François Fialeix. De style néo-gothique, elle s’inscrira dans le renouvellement architectural de la place. Les travaux ne seront définitivement terminés qu’en 1872.

Elle possède une nef et deux bas-côtés, et comporte des éléments architecturaux néo-gothiques.

 Ses fonts baptismaux reposent sur cinq pieds. Les sculptures qui ornent la cuve sur trois côtés illustrent différents épisodes de la vie du Christ : le Baptême dans le Jourdain, la Mise au tombeau et la Résurrection.

Son autel est imposant par sa structure. Le bas-relief exposé au bas de l’autel représente la communion de St Jean.

Le haut de l’autel a l’apparence d’un château fort ; il symbolise en quelque sorte la forteresse de Dieu et abrite le tabernacle et la Croix du Christ.

Ses vitraux furent réalisés pour la plupart dans l’atelier du maître verrier François Fialeix, ce verrier est l’un des plus célèbres du 19ème siècle. Ses vitraux ornent de nombreuses églises sarthoises et se retrouvent dans tout l’ouest de la France et surtout en Bretagne.

 La tour-clocher est ornée d’une pendule conçue par l’horloger de Mayet, Gourdin, qui a réalisé une grande part des systèmes d’horlogerie des églises sarthoises.

Le centre culturel

L’ancien presbytère construit en 1855, annexé à la mairie par la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’état, devient la gendarmerie en 1907.

Rénové dans les années 1980, il devint centre culturel abritant aujourd’hui des salles mises à la disposition des associations.

La Fontaine

Elle fut édifiée et inaugurée en 1892 par le Maire Eugène Termeau commémore le centenaire de la proclamation de la République. Elle fut construite grâce à un legs de 4000F fait par Mademoiselle Elise Bouttevin, sœur du Maire Alphonse Bouttevin et fille d’Alexandre Bouttevin, maire également (1852-1854).

La statue à caractère allégorique qui couronne l’édifice représente la République, réplique de celle qui ornait la place du Champs de Mars à Paris.

Cette fontaine publique destinée à embellir la place avait aussi un but utilitaire puisqu’elle devait approvisionner en eau la population (eau captée au lavoir de la Caille sur la rivière Pot de Vin).

Les plans furent dressés par l’architecte Poivet et la statue en fonte réalisée par le maître des forges L.Gasne.

Elle sera entourée d’une plantation de 16 tilleuls. 

Les anciennes halles

Endroit où se concentraient toutes les activités commerciales, ce bâtiment aujourd’hui abrite La Poste.

C’est également Madame Bouttevin qui fit don à la commune d’un immeuble en 1892. Un an plus tard, la première pierre pour la construction d’un bureau de poste et une halle contigüe fut posée par le Maire.

Ses lavoirs

Voir aussi le site internet : Lavoirs en Sarthe

Le Lavoir de l’Arche (1900) :
En 1900, une grande campagne de réfection des lavoirs est mise en route par le conseil général. On décide de construire, sur le Gandelin un grand lavoir à deux versants qui permettra d’accueillir de nombreuses laveuses. Comme la municipalité ne veut pas emprunter pour cette édification, le lavoir est donc réalisé par un maçon local qui prend en adjudication l’exploitation du lieu. Les poutres de l’église médiévale qui vient d’être abattue sont ainsi réemployées ainsi que les pierres qui restaient après la construction de la mairie. On les retrouve dans les deux arcs qui composent l’architecture du lavoir, ainsi que les dalles qui couvrent le sol. Des portes fermaient les accès car le lavoir n’était pas gratuit. Chaque laveuse payait pour avoir un sabot lui permettant de s’agenouiller sur la margelle. Il fallut moins de 5 ans pour que le maçon rentabilise sa construction, rendant alors le lavoir à la commune. (Mayet l’histoire retrouvée – Nicolle Pietrin)

Le Lavoir de la Fontaine de Pot-de-Vin :
A l’origine, cette fontaine alimentait en eau le quartier médiéval. Le nom lui reste du marché qui se concluait entre les maquignons et les vendeurs lors de la Saint Michel d’hiver. Sur la rivière qui porte son nom, elle n’a pas d’étiage et son débit est régulier. L’eau y est très pure et claire et son débit lui permet d’éliminer rapidement toute impureté y compris les mousses qui pourraient s’y développer. Cette source alimente le lavoir de la Caille et descend vers le Sable dans lequel elle se jette, après avoir également alimenté le moulin de Vezins. C’est son cours, ralenti par la retenue du lavoir de la Caille qui alimente la fontaine monumentale de la place de l’hôtel de ville François Fialeix. (Mayet l’histoire retrouvée – Nicolle Pietrin)

Le Lavoir de la Caille (1789) :
Le lavoir est établi à la résurgence du ruisseau appelé la rivière de Pot de Vin. En 1790, le lavoir de la Fontaine Pot de Vin du quartier Saint Nicolas est devenu trop petit et les habitants demandent soit un agrandissement du lavoir soit la création d’un second lavoir. La première solution ne peut être envisagée compte tenu de l’étroitesse du site. C’est alors que la décision du conseil municipal est contestée. Le long antagonisme entre les deux quartiers Saint Nicolas, (catholique) et le nouveau bourg (protestant) est très virulent. Les habitants du quartier nouveau qui ont leurs lavoirs personnels sur le Gandelin, ne veulent pas payer pour le lavoir qui servira seulement à Saint Nicolas. C’est le maire Pierre Galpin qui paie de ses deniers propres, le creusement de la retenue d’eau, les pierres qui constituent le lavoir, ainsi que leur acheminement mettant fin à la controverse. (Recherches Nicolle Pietrin)

Lavoir des Beaussents :
Sur le ruisseau de Fisson, la délibération du 13 août 1900 indique l’état déplorable du lavoir ancestral construit sur le chemin rural n°121.
La dépense pour sa restauration s’élève à 675,37 Frs dont 123, 50 Frs sont payés par une souscription des habitants du lieu-dit. (Voir les séances du 13 août 1900 et du 25 février 1901). (Recherches Nicolle Pietrin)

Ses ruelles

Quelques maisons de St Nicolas conservent dans leur sous-sol des vestiges de bâtiments très anciens comme à « La Haute Cour » où des caves révèlent des piliers et des voûtes. 

Le Fort des Salles

Le lieu-dit « les Salles » s’étend sur les paroisses de Beaumont Pied de Bœuf, Jupilles et Mayet. Ce sont des terres « régaliennes ». Les Salles passent dans l’héritage d’Henri II Plantagenêt qui devient comte d’Anjou à la mort de son père en 1151. Très attaché au Maine, il revient souvent sur ses terres de Château du Loir et du Mans. Il doit combattre des troupes de chevaliers « débandés » et de brigands qui terrorisent le pays. Devant le pillage continuel de ses terres, il décide la construction de plusieurs forteresses qui reçoivent une poignée d’hommes d’armes chargés de faire respecter l’ordre. Le Fort de Mayet fait l’objet d’une charte en 1162. Il est dit joignant le château royal. De cette forteresse enserrée par des fossés, dont les murs d’enceinte couronnés de créneaux, étaient encore debout au début du 20ème siècle, il ne reste plus que la petite poterne et les douves. Cette poterne, fermée d’une porte mobile, permet le passage des hommes à pied seulement. Une autre porte à pont-levis également, plus large, pour les hommes à cheval et les chariots, s’ouvrait dans ce qui reste du mur dont on voit par l’arrachement, le mode de construction et l’épaisseur de la muraille. Les deux tours de l’entrée principale qui fermaient la place forte furent emportées par une explosion le 7 novembre 1918 alors que le fort, reprenant sa fonction militaire devient le quartier général des forces expéditionnaires de l’armée américaine et plus précisément du 51ème régiment d’Infanterie, alors sur le chemin du retour vers leur Virginie initiale. (Recherches Nicolle Pietrin)

Le quartier médiéval ou quartier Saint-Nicolas

En parcourant les ruelles de ce quartier, vous pourrez découvrir :

La motte féodale :
L’honneur fait à Daron de Mayet rejaillit sur tout le village. Ce chef gaulois est propriétaire de terres qui portent les forges de Mayet.
Le forgeron, vénéré pour son pouvoir sur le feu et son habileté à transformer la matière est un personnage important dans la société gauloise.
Anobli, il peut, par cette charte, élever sa demeure où vit sa famille : la « cellæ » sur un promontoire artificiel, la motte seigneuriale. De cette construction, il nous reste encore, bien que très endommagée, l’élévation de terre ainsi que l’emplacement encore délimité par le cadastre actuel. (La Seigneurie de Mayet – Nicolle Pietrin)

Le Manoir de Haut Baigneux :
Bâti au XII ème siècle à proximité de la motte féodale. La seule particularité architecturale de ce manoir réside dans la tour collatérale, dont il ne reste qu’une partie endommagée.

Le Manoir des Viviers :
Superposition de constructions de différents siècles, trait caractéristique de l’architecture médiévale du 13ème siècle :
Les fondations sont anciennes et remontent au XIème siècle ; la tour date du XVIème et le reste des bâtiments du XVIIème siècle.
Ce manoir restauré est un exemple des demeures seigneuriales établies à Mayet et dans les environs.

La chapelle Sainte Croix ou chapelle de Notre Dame de la Trinité :
À mille pas donc, une chapelle permettait aux lépreux d’entendre la messe. Ne pouvant pénétrer en terre consacrée, la porte était laissée ouverte lors des offices pour qu’ils puissent entendre la parole du Christ et prier depuis l’extérieur. Cette chapelle, recevant les reliques ramenées par Hodon de Maillé à la première croisade, changea de vocable pour être consacrée à la Sainte Croix. Une requête avait été adressée au 16ème siècle à l’évêque à l’encontre de René de Hodon, chevalier, seigneur de la Gruellerie qui détenait ces reliques (sans doute était-il religionnaire1.) En 1687, la translation des reliques se fera vers Notre Dame de la Couture où reposait sous son gisant de pierre, Hélie de la Flèche, en une grande procession de 12.000 personnes guidées par Maître Mathurin Besnard, curé de Mayet et promoteur de l’évêché du Mans.
(La Seigneurie de Mayet – Nicolle Pietrin)

Son émetteur de télévision :

Au XXème siècle, Mayet a su entrer dans l’ère de la communication avec la télévision puisqu’en 1959 est érigé en lisière de forêt de Bercé un émetteur de télévision. Le projet d’un centre émetteur à proximité du Mans est décidé en 1956 sous l’égide de Max Boyer, maire de Mayet, sur un terrain de 5 hectares, situé à 3 kms de Mayet. Les travaux débutent en 1958 pour se terminer à la fin de l’année 1959. Ce pylône devient à l’époque le plus haut de France.

Le 22 décembre 1959, grâce à un pylône de 300 mètres de haut, un émetteur de télévision dessert désormais le Maine, l’Anjou, la Touraine et le Perche. Quelques années plus tard, Radio France, profitant de la structure, diffuse sur la bande F.M. ses programmes radio. A partir de 1967, le pylône en soi ne suffit plus avec la mise en place de la 2ème chaîne, puis quelques années plus tard, la distribution des chaînes en couleur. Un « cigare » est donc adjoint le 14 juillet, rehaussant l’antenne à 324 mètres.

Manifestement en surcharge avec l’accroissement des programmes, le remplacement du pylône devient indispensable. Dès avril 1992, un nouveau pylône haut de 342 mètres, supplante l’ancien. Géré par TDF (Télévision de France), il est à l’heure actuelle le plus haut de France pour le réseau de distribution.

C’est un mât à haubans de 342m de haut, (3ème plus haute construction de France, plus haut que la Tour Eiffel) installé pour la transmission de la télévision et de la radio FM.

En 1994, un concours d’idées est lancé par TDF en partenariat avec la Municipalité de Mayet et le Conseil d’Architecture et d’Urbanisme de la Sarthe pour décider du sort de l’ancien pylône. A l’issue de ce concours, ressort le projet original d’un sculpteur de la Région.

Cerné de miroirs reflétant l’image à l’infini dans un puits de cinq mètres de profondeur, le pied renversé de l’ancien a désormais sa place au cœur du village après 34 années de service ; Cette œuvre de Jean-Bernard METAIS a été inaugurée le 23 novembre 1996 à l’Espace Lichtenau. Le pied du premier émetteur est ancré sur l’espace Lichtenau, face à l’office du tourisme dans un puits de miroirs, où les jeux de lumière vous surprendront plus particulièrement la nuit.

Mayet et ses places fortes :

Mayet Places fortes Association du Patrimoine et des Sites de Mayet

Photos des sites

La population mayétaise

Populations légales 2017 de la commune 

Les populations légales millésimées 2014 entrent en vigueur le 1er janvier 2017. Elles ont été calculées conformément aux concepts définis dans le décret n° 2003-485 du 5 juin 2003 relatif au recensement de la population. 

Les populations légales sont désormais actualisées chaque année. Toutefois, les enquêtes de recensement étant réparties sur cinq années, il est recommandé de calculer les évolutions sur des périodes d’au moins cinq ans. 

Retrouvez toutes les statistiques issues de l’enquête réalisée par l’INSEE en téléchargeant les données sur le site www.insee.fr 

Population en historique depuis 1831

1831
1861
1901
1911
1936
1946
1954
1962
1975
1982
1990
1999
2008
2013
2019
2020
Population
3519
3900
3427
3179
2947
3160
3003
3155
3019
2876
2877
2915
3185
3223
3120
3142

Sources : Insee

Naissance et décès domiciliés 2007-2021 Commune de Mayet (72191)

2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
2021
Naissances
31
26
39
31
32
34
31
33
36
17
16
34
35
35
40
Décès
50
53
49
57
47
49
59
54
63
52
73
66
50
71
81

Sources : Insee

Population par sexe et âge en 2020

Hommes
%
Femmes
%
Ensemble
1525
100,0
1617
100,0
0 à 14 ans
261
17,1
260
16,1
15 à 29 ans
221
14,5
210
13
30 à 44 ans
242
15,9
247
15,3
45 à 59 ans
282
18,5
301
18,6
60 à 74 ans
314
20.6
305
18.8
75 à 89 ans
174
11.4
245
15.2
90 ans ou plus
31
2.0
49
3.0
0 à 19 ans
343
22.5
342
21,1
20 à 64 ans
791
51.9
767
47,4
65 ans ou plus
392
25.7
509
31,4

Sources : Insee

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